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Nothomb, Amélie
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Née au Japon en 1967, fille d’Ambassadeur Belge, Amélie Nothomb reste profondément marquée par la culture nippone qu'elle a quitté à l’âge de 5 ans et qu’elle porte dans son cœur.
Amélie Nothomb raconte une partie de son enfance dans d’autres romans telles que Métaphysique des tubes, Le Sabotage amoureux et Biographie de la faim.
Le sujet de Stupeur et tremblements est un roman autobiographique ou s’oppose mentalités Occidental et Japonaise.
En effet, nostalgique de ce pays, l’auteur y est retourné dans les années 1990 pour y travailler comme interprète ou elle songeait d’ailleurs s'y installer définitivement.
Son livre nous raconte la vie professionnelle dans une entreprise japonaise en 1990 d’une Occidentale au pays du Soleil Levant recruté par une grande entreprise d’import/export, la société Yumimoto.
La jeune femme y décrit sa déchéance et nous expose le système japonais du monde du travail (et certaines coutumes nippones) qui consiste a réclamer la perfection aux employés, leur assouvissement, mais également à mettre à l’écart sans toutefois les licencier, les éléments jugés incapables.
Dans un premier temps, elle doit écrire une lettre pour confirmer une rencontre de golf, mais son responsable déchire à chaque fois ces propositions. Il finit par lui dire de servir le thé dans une réunion. Amélie sert donc les clients en répondant gentiment en japonais. A la fin de la réunion, elle est priée de ne plus parler japonais.
Sa situation se dégrade de plus en plus à chaque fois qu'elle essaye de prendre une initiative.
Elle résiste avec humour et diplomatie aux ordres de sa supérieure Melle Fubuki, une jeune femme célibataire de 29 ans très grande, d’une beauté sublime, représentant la beauté typique nippone, mais également très stricte.
Elle va passer par beaucoup de moments difficiles, jusqu’à devenir surveillante des toilettes.
Elle montre comment elle trouve la force de ne pas démissionner (ce qui est un déshonneur au Japon) en retournant cette situation à son avantage.
Et présente sa démission à la façon nippone avec « stupeur et tremblements » comme le protocole l’impose en présence de l’Empereur, laissant croire à ses hiérarchies sa reconnaissance de son infériorité.
Ce livre est très intéressant et d’actualité car le management occidental s’inspire de plus de plus de ce management asiatique, expliquant pourquoi les dépressions et suicides augmentent tant dans nos sociétés
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Bella one
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2011
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zéro
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Nothomb, Amélie
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Que l'on ne me fasse pas dire ce que je n'ai pas dit. Je ne dis pas que Nothomb EST raciste: je n'en sais rien, je ne la connais pas. Juste que CE LIVRE comporte des idées racistes. Elle n'en est peut-être pas consciente elle-même.
On peut dire aimer un pays, l'aimer même, y vivre très longtemps...et conserver ds préjugés occidentaux.
Je pense que si un étranger avait écrit un livre sur la France du même acabit, on aurait réagi vivement. Pas forcément en appelant au scandale, au racisme comme je le fais, mais en disant: « De quel droit ces étrangers se permettent-ils de juger notre pays??» Et bien, pour bien connaître le Japon, pour, à la limite, le connaître mieux que la France, c'est bien mon sentiment: le Japon de Nothomb n'a rien à voir avec le vrai Japon! C'est une fiction, un délire, un fantasme mi-sexuel.
On disait en 1914 que les allemands puaient et avaient des pieds de bouc.
Aujourd'hui, Nothomb dit que les chefs de service japonais beuglent dans les couloirs: «y'a plus de papier!». C'est différent???
Certains ont dit: «Mais ce n'est qu'une société, pas tout le Japon qu'elle décrit!». Argument refusé : qu'un chef de service se comporte ainsi dans une des plus grandes société du pays, et c'est évidemment l'ensemble du pays, du système, qui est visé!!
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Kalamari
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
8/1/2009
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Nothomb, Amélie
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Le sujet de Stupeur et tremblements est un sujet polémique. Le roman nous raconte la vie professionnelle dans une entreprise japonaise. Amélie Nothomb, protagoniste du roman, va se faire recruter par l'entreprise Yumimoto, elle est d'ailleurs la seule occidentale au coeur de l'entreprise. Inspirée par la culture japonaise, Amélie va tenir une sorte de carnet de bord. Au Japon, la vie professionnelle est étroitement liée aux traditions, Amélie le découvrira à ses dépends.
Stupeur et tremblements est un livre qui ne me plaît pas car c'est un roman autobiographique qui je trouve, est mal rédigé, Amélie Nothomb dans son livre ne parle que de l'entreprise. Elle ne parle pas de la vie japonaise après le travail, de leurs loisirs. Elle ne parle que de la hiérarchie pendant environ 150 pages cela m'agace. Pour le livre Stupeur et tremblements, je mets une note de 2 étoiles, le livre ne parle que d'un sujet, c'est très ennuyant.
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Lebron James
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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Nothomb, Amélie
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Le roman Stupeur et tremblements d'Amélie Nothomb est la vraie histoire de l'auteur. Celle-ci raconte son expérience vécue lorsqu'elle est engagée comme interprète chez Yumimoto, une entreprise d'import-export. Elle est d'origine belge mais son rêve est de vivre comme une vraie Japonaise.
Malheureusement, Amélie Nothomb va vivre un vrai cauchemar. Ses supérieurs vont lui faire faire exécuter des tâches qui n'auront rien avoir avec le métier d'interprète pour lequel elle a été embauchée. Cependant, Amélie Nothomb exécute les ordres, jusqu'à nettoyer les toilettes.
En revanche, ses supérieurs ne sont pas satisfaits de son travail. Elle est même traitée handicapée mentale, jusqu'à penser que les cerveaux occidentaux sont moins intelligents que celui des Japonais.
Malgré tout, Amélie Nothomb terminera son contrat et démissionnera, comme le veut la tradition nippone. Elle prouvera au Japon qu'elle est courageuse et qu'elle se comporte comme une vraie Japonaise.
Cependant, l'histoire était intéressante. J'ai appris les lois du Japon, que je trouve un peu strictes. Je trouve qu'Amélie Nothomb est une très bonne auteure qui a beaucoup de talent. J'ai trouvé les personnages drôles, parfois ironiques et touchants.
Je pense également qu'aucune race n'est supérieur.
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Weiss Audine
(2 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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Nothomb, Amélie
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Le roman d'Amélie Nothomb, Stupeur et tremblements, parle d'une jeune fille qui veut devenir traductrice dans une grande entreprise japonaise. Ses supérieurs se moquent d'elle et Amélie fait gaffe sur gaffe. A la fin, sa supérieure Fubuki lui fait faire un travail très dégradant, nettoyeuse de toilettes, mais Amélie ne craque pas pour autant.
J'ai moyennement aimé ce livre car il nous apprend des choses et à la fois nous avons l'impression qu'il se moque des gens handicapés mentaux, ce qu'Amélie fait à un moment du livre. Il est un peu ennuyant car il n'y a pas d'action, il ne se passe strictement rien dans ce livre.
Mais en même temps, il nous apprend des choses sur la culture japonaise et comment les Japonais vivent, se traitent entre eux. Je trouve même que parfois c'est exagéré, car de là à faire «bouffer» Amélie alors qu'elle est encore sous contrat, me paraît bizarre. Puis ce livre m'a paru long car comme je l'ai dit, il n'y a strictement rien qui se passe. C'est toujours la même musique tout au long du livre.
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Cynhtia Meneghetti
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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Nothomb, Amélie
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Amélie Nothomb est une jeune Belge qui retourne au Japon pour devenir traductrice. A son arrivée là-bas, elle trouve un emploi dans l'entreprise Yumimoto en tant que traductrice. Le premier jour, elle rencontre sa supérieure, Fubuki, qui selon sa description, est une très belle femme. Dans un premier temps, elle doit écrire une lettre de la part de Mr Saîto pour Adam Johnson afin de lui confirmer une rencontre de golf. Mr Saïto n'est pas satisfait de ses lettres et les déchire à chaque fois. Il finit par lui dire de servir le thé dans une réunion. Amélie sert donc les clients en leur répondant
gentiment en japonais. A la fin de la réunion, Mr Saito prend Amélie à part pour lui passer une «soufflante». En effet, Amélie ne devait pas parler japonais et surtout ne pas faire comprendre au client qu'elle le comprenait. Plusieurs jours passent et elle a une autre tâche : de la comptabilité. Elle passera des jours et des nuits dessus mais en vain. Fubuki perd patience et lui donne un travail honteux : surveillante des toilettes. Fubuki lui explique que les toilettes doivent toujours rester propres et qu'il doit toujours y avoir du papier. A la fin de son contrat, Amélie repart en Belgique.
J'ai trouvé ce livre très intéressant car on voit vraiment la culture japonaise. Je trouve cela honteux de traiter quelqu'un comme cela. Amélie a eu beaucoup de courage de tenir autant de temps.
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Manon S
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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Nothomb, Amélie
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Amélie Nothomb, qui est née au Japon, retourne dans son pays natal pour y travailler en tant que traductrice. Elle arrive dans une entreprise qui respecte toutes les traditions du pays, et dans une entreprise qui a une hiérarchie très structurée. Amélie s'installe dans cette entreprise pour un an mais n'exerce pas le métier pour lequel elle est venue. Le roman explique les traditions Japonaises. L'arrivée d'Amélie n'est pas la bienvenue dans l'entreprise, et cela se fait ressentir de la part de ses supérieurs.
Je trouve que ce sujet est bien choisi pour faire découvrir les traditions, la hiérarchie d'une entreprise, les valeurs de conduite au Japon. Cependant, je pense que si on avait eu une jeune mère japonaise qui explique toutes les cultures, traditions, les conduites et la hiérarchie de son entreprise, le livre aurait été plus intéressant. Amélie est très explicative dans tout le roman mais ne donne pas assez de détails. Ce livre peut s'adresser à tout lecteur car il est court malgré quelques mots compliqués, on arrive à comprendre l'ensemble du roman. Je trouve que la narratrice raconte bien son histoire mais l'histoire reste enfermée dans l'entreprise. Il n'y a pas beaucoup d'explications sur la vie quotidienne au Japon. Elle ne raconte pas assez pourquoi la tradition se veut d'être comme ça.
Je trouve que ce livre n'est pas très bien et que le titre est mal choisi pour l'histoire racontée. La couverture du livre n'est pas parlante du tout, cela n'a rien à voir avec le sujet raconté. Je ne l'aurais pas lu de moi-même si on ne me l'avait pas imposé.
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Vannier Elodie
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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Nothomb, Amélie
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Le livre d'Amélie Nothomb est ennuyant, je trouve qu'il manque d'action. En effet , elle raconte trop sa vie, nous sommes en permanence confrontés à ses pensées, cela devient exaspérant. Les textes sur ce qu'elle pense, sur ce qu'elle ressent, sur ce qu'elle vit sont très très longs et inutiles! Les actions se déroulent tout le temps dans la société Yumimoto (la société où elle travaille), en fait le livre est vraiment très répétitif. Il y a cependant des moments où le roman devient intéressant, mais ça ne dure pas longtemps, par exemple le passage des calendriers est amusant. Le livre nous permet d'en apprendre un peu plus sur la vie nipponne.
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Laurène R
(2 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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Nothomb, Amélie
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C'est l'histoire d'une jeune femme nommée Amélie Nothomb, qui se rend au Japon dans l'entreprise Yumimoto. Elle se rend dans l'entreprise en tant que traductrice. Elle va travailler dans cette entreprise pendant un an. Au début de son contrat de travail, elle se sentait bien, mais au fil du temps, Amélie se sentait de plus en plus mal dans l'entreprise Yumimoto. Plus les jours passaient, plus Amélie Nothomb avait du mal à s'intégrer dans l'entreprise et pour cause, les supérieurs d'Amélie lui donnaient plein de petits travaux qui n'étaient pas attendus dans ces compétences. Mais Amélie obéissait aux ordres que lui donnaient ses supérieurs plutôt que de se révolter. Elle voulait prouver qu'elle pouvait agir comme une japonaise. Parviendra-t-elle à aller jusqu'au bout de son contrat de travail... ?
J'ai assez bien aimé ce livre, car il y avait des choses intéressantes. L'histoire était un peu comique ce qui m'a bien plu.
L'histoire était simple à comprendre, ce qui donne une lecture simple avec une bonne compréhension. Par contre, je n'ai pas trop aimé comment l'entreprise était constituée, c'est-à-dire, le fonctionnement de travail dans l'entreprise Yumimoto. J'ai trouvé ça un peu bizarre, car en plus les membres de l'entreprise n'étaient pas très gentils entre eux.
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Charlène J
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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Nothomb, Amélie
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Je viens de lire le roman stupeur et tremblements d'Amélie Nothomb. C'est l'histoire d'une jeune femme, d'origine occidentale venant au Japon travailler comme traductrice dans une grande entreprise. Mais dès son arrivée, tout se retourne contre elle. On lui fait faire des tâches inutiles avant de l'envoyer dans la section comptabilité. A de nombreuses reprises, elle se fait humilier et finit son séjour comme «nettoyeuse de chiottes». Sur un an de travail, elle a passé 7 mois aux toilettes. Ses supérieurs la traitent comme une moins que rien, ont de propos racistes sur les occidentaux mais pour prouver qu'elle aussi est une nippone, elle ne démissionne pas.
Pour moi, ce livre mérite 1 sur 5. Je l'ai trouvé particulièrement ennuyeux, c'est une histoire sans fin, on se sait pas ce qu'elle est devenue après son passage chez Yumimoto. De plus, elle ne parle que de l'entreprise et on ne sait pas ce qui se passe dans sa vie extérieure.
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Priscilla
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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Nothomb, Amélie
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C'est l'histoire d'une jeune femme prénommée «Amélie» et qui est surnommée «Amélie-san» dans le film et dans le livre. Elle part au Japon pour pouvoir faire un contrat d'un an dans l'entreprise Yumimoto. Le premier travail qu'elle effectue est de faire des photocopies pour le club de golf de M. Saito. Lorsqu'elle apporte la lettre à M. Saito, il lit le travail, pousse ensuite un cri méprisant et le déchire. Il lui dit: «Recommencez!». Au début, Amélie, l'auteure de ce livre, avait eu un diplôme pour être enseignante. Mais elle accumule plusieurs travaux. Donc ensuite, sa supérieure, Mlle Mori lui donne des dossiers à trier par entreprises et par dates. Mais Fubuki est très étonnée lorsqu'Amélie lui rend le travail. En effet, Amélie a tout mélangé. Mlle Mori lui donne de la comptabilité, mais Amélie ne sait même pas calculer un montant et taper les chiffres à la calculatrice. Amélie prend ensuite l'initiative de vouloir distribuer le courrier, mais chose qu'elle n'aurait jamais dû faire... Elle a vraiment un comportement déviant, car elle répond à ses supérieurs. Lorsque Fubuki se fait disputer par M. Omochi, elle va pleurer dans les toilettes, pour que personne ne puisse la voir. Mais quand Amélie la voit dans un si mauvais état, elle veut la consoler. Au Japon, consoler quelqu'un est quelque chose d'immonde. Et elle s'expose à une sanction où elle ne peut pas tomber plus bas. Elle est «nettoyeuse de chiottes». Vraiment elle n'aurait pas pu tomber plus bas! Mais Amélie a tellement été courageuse qu'elle a terminé ces sept mois dans ces conditions.
Moi, personnellement, je n'aurais jamais été capable de nettoyer les toilettes à la place des femmes de ménage. Pour le film, c'était bien par rapport au livre, car avec le film, on comprend beaucoup mieux l'histoire d'Amélie. J'ai mis un 4/5 car c'était intéressant.
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Kathleen Lecossois
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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Nothomb, Amélie
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Le roman Stupeur et tremblements raconte l'histoire d'une jeune fille de 23 ans qui part au Japon pour une carrière d'interprète mais surtout pour retrouver le Japon qu'elle avait connu étant petite.
Elle est embauchée dans la compagnie Yumimoto. Les supérieurs d'Amélie ne la prennent pas au sérieux parce qu'elle vient d'un pays occidental, ils pensent que son cerveau n'est pas comme le leurs donc moins intelligent. A aucun moment, dans l'entreprise on ne lui a donné sa chance, enfin mis à part une seule fois mais la situation se dégrade de plus en plus à chaque fois qu'elle essaye de prendre une initiative. Elle va passer par beaucoup de moments difficiles, ils vont lui faire faire des travaux complètement inutiles jusqu'à en arriver à être nettoyeuse de chiottes.
Mais malgré tout ce qui va lui arriver, elle ne démissionnera pas jusqu'à la fin de son contrat, elle voulait montrer à tout le monde qu'elle pouvait être une vrai nippone malgré son cerveau occidental. Puis ,vient le jour où elle part, son contrat étant fini. En rentrant chez elle, en Belgique, elle se met à écrire des livres qui ont été traduits en japonais. Sa supérieure directe, l'a lu et s'est rendue compte qu'elle avait fait une bêtise en la traitant comme elle l'a fait alors elle lui a envoyé un mot écrit en japonais où il était inscrit «Félicitations».
Je n'ai pas beaucoup aimé ce livre. Il y a des moments drôles, des moments assez trite mais pour moi, ce que j'en pense est que j'ai lu de meilleurs livres. Il n'y avait pas assez de suspense, pas d'intrigue, pas non plus de grande intrigue comme dans les romans policiers où pendant la lecture j'ai envie de regarder à la fin pour voir ce qui se passe mais là non.
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Babana
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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ajoutez votre critique |
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Nothomb, Amélie
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Ce roman se passe dans les années 1990, Amélie Nothomb est la narratrice. Elle a été embauchée par l'entreprise Yumimoto, c'est une entreprise japonaise. Elle travaille avec Fubuki, qui est sa supérieure. Monsieur Saito s'occupe de toute l'entreprise. Amélie est plusieurs fois demandée pour faire des travaux pour Monsieur Saito qui lui n'est pas aimable avec elle, il lui a demandé de lui écrire une lettre qu'il a à chaque fois déchirée, des tas de photocopies qu'il n'a même pas regardées et qu'il a mises tout de suite dans la poubelle. Chaque fois qu'Amélie a voulu rendre service cela n'a jamais été. Monsieur Tenchi lui avait proposée de travailler avec lui, elle avait bien sûr accepté. Mais Fubuki qui elle l'avait remarqué, l'avait dénoncée à Monsieur Omochie qui lui était le supérieur de Monsieur Saito.
Amélie avait été convoqué au bureau de Monsieur Omochi avec Monsieur Tenchi. Un jour, Amélie revient à son poste de boulot auprès de sa supérieure et la Fubuki avait décidé qu'Amélie nettoierait les toilettes Hommes et Femmes.
Pour Amélie, c'était une honte, mais elle le fera quand même. Les hommes qui allaient aux toilettes, ont été choqués de voir Amélie là donc ils ont décidé de ne plus y aller.
Plus tard, Amélie a annoncé que son contrat était fini donc elle part puis sort un livre.
Je n'ai pas vraiment aimé ce livre car j'ai trouvé cela sale de traiter une jeune femme comme ça, alors qu'elle a tout fait pour que cela s'arrange mais rien à changer.
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Latite
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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ajoutez votre critique |
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Nothomb, Amélie
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Ce roman parle d'une jeune femme qui s'appelle Amélie. Elle est née au Japon est elle a vécu là-bas jusqu'à l'âge de 5 ans ensuite elle est venue en Belgique.
Dans ce roman, Amélie part au Japon pour aller travailler un an dans une entreprise japonaise appelée Yumimoto. Elle croyait que cela se passerait bien mais elle va très vite se rendre compte que c'est «l'horreur» de travailler au Japon.
Amélie a été engagée en tant que traductrice mais ils lui ont fait faire des choses complètement différentes. Elle a fait de la comptabilité ensuite comme elle ne savait pas en faire, ils lui ont fait faire des choses totalement inutiles. Fubuki, qui était sa supérieure, lui donnait toutes ces tâches inutiles, M.Saito aussi qui était le supérieur de Fubuki. Après la comptabilité, M.Saito lui donnait des photocopies à faire, c'est ce qu'elle devait faire toute la journée, puis elle a fini par être «dame pipi», à s'occuper du nettoyage des toilettes. Amélie avait une bonne entente avec Fubuki à son arrivée dans l'entreprise mais par la suite cela se dégrade, Fubuki pensant qu'Amélie est une idiote, une bonne à rien, une «cinglée».
Ce ne la dérangeait pas car Amélie faisait tout pour qu'elle continue à penser ça, elle rentrait dans un jeu et sans le savoir c'est Fubuki qui a été prise pour une idiote. Tout le monde au travail, enfin pratiquement tout le monde, pense qu'Amélie est une bonne à rien. Et ils ne souhaitent qu'une chose, c'est qu'elle démissionne comme toute occidentale aurait fait. Car pour les Japonais, les Occidentaux sont incompétents. Mais Amélie a voulu prouver qu'elle pouvait être une vraie nipponne et elle n'a pas démissionné, elle a tenu un an dans ces circonstances jusqu'à supporter l'humiliation.
Je donnerais la note de 2 à ce livre, car l'histoire ne m'a pas vraiment passionnée mais je pense tout de même qu'Amélie a vraiment eu du courage pour supporter cet «enfer» pendant un an. Car je pense que peu de personnes auraient pu supporter cela et auraient démissionné. Mais les Japonais ne démissionnent pas et Amélie a voulu montrer qu'elle pouvait être une vraie japonaise.
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Hernandez Angélique
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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ajoutez votre critique |
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Nothomb, Amélie
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Ce roman parle d'une jeune femme qui s'appelle Amélie Nothomb, d'origine occidentale.
Elle est née au Japon et à l'âge de 5 ans est revenue en Belgique. Dans ce roman, Amélie part au Japon travailler comme traductrice dans une grande entreprise.
Mais dès son arrivée, tout se retourne contre elle. Fubuki, qui est sa supérieure, lui donne des tâches inutiles, avant de l'envoyer dans la section comptabilité.
A de nombreuses reprises, elle se fait humilier et finit son séjour comme «nettoyeuse de chiottes».
Sur un an de travail, elle a passé sept mois aux toilettes. Ses supérieurs la traitent comme une moins que rien, font des propos racistes sur les Occidentaux mais pour prouver qu'elle peut elle aussi être une nippone, elle ne démissionne pas.
Pour moi ce livre mérite 1.5 sur 5.
Il n'est pas intéressant et ennuyeux, c'est une histoire sans fin qui parle que de l'entreprise YUMIMOTO.
Ce qui m'a plu, c'est qu'Amélie a vraiment eu du courage pour supporter cette enfer.
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Simsek Sonay
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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ajoutez votre critique |
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Nothomb, Amélie
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Le livre Stupeur et tremblements d'Amélie Nothomb est un livre plutôt agréable et rapide. Mais cependant, je trouve ce livre rébarbatif. En effet, ce récit parle d'une descente aux enfers de la narratrice, une employée d'une grande firme japonaise. Cet ouvrage raconte parfaitement le mode de vie des nippons. Les employés sont aux ordres de leurs supérieurs, jusqu'à l' échelon suprême du président de la compagnie. Ce dont parle le plus le texte sont les différentes affectations d'Amélie. Celle -ci joue un rôle avec sa supérieure, qui ne s'aperçoit de rien et pense qu'Amélie a un handicap.
Ce livre ne m'a pas déplu. Je trouve qu'il est très simple et rapide à lire. Les personnages sont comme dans la vie réelle, avec tout le savoir vivre nippon. J'ai également apprécié le jeu de rôle entre Amélie et melle Mori, où cette dernière prend la narratrice pour une handicapée, une Occidentale incapable de rivaliser avec les nippons dans le domaine de «l'intelligence». Mais Amélie se moque de melle Mori, lui faisant croire qu'elle est idiote. Elle vit un véritable calvaire, elle est réduite à néant. Les actions s'enchaînent rapidement, c'est très fluide. Je n'ai pas apprécié le manque de changements, pendant toute l' histoire, le récit parle principalement de la véritable humiliation d'Amélie et je trouve cela dommage. Enfin, pendant tout le texte l'histoire se passe dans ce même lieu clos, l'entreprise Yumimoto. Il n'y a pas de changement et c'est ennuyeux. C' est un texte plutôt satisfaisant dans l' ensemble mais il manque d'un peu de rythme.
Les plus: - le système japonais est retransmis à merveille
- le jeu de rôle entre Amélie et melle Mori
- la rapidité à lire le texte
Les moins:- manque de rythme et de changement
- toujours le même endroit
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Nicoandre
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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ajoutez votre critique |
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Nothomb, Amélie
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Mon avis sur ce livre est médiocre parce que dans le roman ,il y a des passages qui ne sont pas très intéressants voire nuls. Les supérieurs d'Amélie Nothomb sont tous contre elle, on lui donne des tâches pas appropriées au travail d'Amélie. Je trouve que dans ce roman, il n ' y a pas d'histoire et pas d'action et on voit bien qu'Amélie ne s'attendait pas du tout à souffrir autant que ça. Mais dans le texte, il y avait des gens qui faisaient tout pour qu'Amélie se sente en bonne complicité. Dans le texte, il y avait un homme qui s'appelait monsieur Omochi, le supérieur de Saïto, sa façon de travailler était déplorable, il mangeait tout le temps et dès qu'il sortait de son bureau, c était pour disputer quelqu'un du personnel.
Il y avait aussi, la supérieure d'Amélie Nothomb, mademoiselle Mori, elle la prenait pour une bête, elles se disputaient tout le temps et aussi je voyais qu'elle ne satisfaisait pas monsieur Omochi dans ses fantasmes donc c'était pour ça aussi que monsieur Omochi sortait et disputait mademoiselle Mori devant tout le monde. Mais les tâches, qu'on confiait à Amélie, étaient très dures et elle passait des nuits entières à les faire. Donc le 7 janvier 1991, elle donne sa démission et l'annonce à tous ses supérieurs.
Le plus du livre, c'est:
-on voit que dans la vraie vie ça peut arriver à tout le monde de se faire soumettre
Le moins du livre, c'est:
-on voit que c'est toujours le même endroit
-il n'y a pas beaucoup de personnages
- ce n'est pas trop une histoire
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Boris Badou
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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ajoutez votre critique |
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Nothomb, Amélie
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Dans ce roman, il nous est raconté qu'une jeune fille nommée Amélie arrive au Japon et est engagée chez Yumimoto pour une année seulement.
Malheureusement pour Amélie, l'année est loin de se dérouler comme elle l'aurait voulu. En passant par les nombreuses photocopies, en passant par le poste que lui a proposé Mr. Tenshi, la haine entre Melle Mori et Amélie ne va débuter qu'au moment où Melle Mori va parler à Mr. Saito du travail effectué par Amélie.
Fubuki, tout au long du livre, ne va pas arrêter de rabaisser Amélie. Mais ensuite, Amélie passe de secrétaire dont la tâche semblait trop difficile, à «nettoyeuse de chiottes».
Amélie subit beaucoup de critiques sur son travail et veut donc montrer qu'elle a la force nippone et ne compte alors pas démissionner. A la fin du roman, Amélie porte sa démission et donc s'en va comme prévu.
On apprend que Amélie va écrire un livre et reçoit une lettre de Fubuki qui lui dit «Félicitations».
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Coralieb
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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ajoutez votre critique |
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Nothomb, Amélie
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Ce livre écrit par Amélie Nothomb, se déroule dans l'entreprise Yumimoto où une jeune fille est embauchée mais en tant que traductrice et non pour des corvées de service. Pour toutes les tâches qui lui sont donner à faire, elle est toujours dans l'erreur, la maladresse et dans l'échec de ces performances. Puis elle rencontre tous ses supérieurs et Fubuki qui semble être son amie mais elle va se rendre compte qu'elle l'a trahie. Elle raconte sa vie dans l'entreprise Yumimoto. Tous ses supérieurs l'humilie devant tout le monde. Toutes les tâches qui lui sont demandées, ne sont pas faites correctement: rédaction d'une lettre, rangement du courrier, surveillance et nettoyage des toilettes. Puis elle rencontre un jeune homme qui lui fait confiance en lui donnant une tâche. Puis elle se moque de ses supérieurs en donnant sa démission à l'entreprise Yumimoto pour être traductrice dans son pays et rédiger son premier manuscrit qui sera publié un peu plus tard.
Mon avis est que ce livre raconte quels sont les degrés de la hiérarchie et que ce livre est plutôt fait avec du rire, de l'angoisse, de l'humour, de l'humiliation par les supérieurs. Les mots étaient parfois très compliqués et il y a des passages où ce n'est pas évident. Et pour moi, il n'y avait pas assez d'action et il y avait des passages où l'on s'ennuyait. Pour moi, j'ai moyennement aimé ce livre mais je serai intéressé de lire d'autres livres du même auteur. Ce roman était très intéressant et surtout comment il était rédigé.
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Gwen
(première critique)
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Genre : Fiction
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1/1/2009
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Nothomb, Amélie
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C'est l'histoire d'Amélie, une jeune fille, qui est partie au Japon pour travailler dans une entreprise qui se nomme «Yumimoto». Elle y va pendant un an. Sa supérieure s'appelle Fubuki qui traduit en français par «Tempête de neige». Au début, Amélie travaille pour Mr Saito, elle travaille en face du bureau de sa supérieure. Amélie admire beaucoup le visage de Fubuki. Au fil des mois, Amélie travaille pour Fubuki en tant que comptable, elle travaille sur des comptes de l'entreprise, toute la journée, et toutes les nuits jusqu'à la fin du mois. Mais comme elle ne fait pas bien son travail, Mlle Fubuki lui en donne un autre, celui de s'occuper des toilettes de son étage dans l'entreprise. Elle est «dame pipi», elle y reste jusqu'à la fin de son contrat. A la fin de son contrat, elle veut voir, Fubuki, Mr Saito, Mr Omochi et Mr Haneda, chacun leur tour, pour leur dire à quel point elle a été ravie d'avoir travaillé dans cette entreprise, même si elle ne s'est pas montrée à la hauteur, et qu'elle sera reconnaissante à «Yumimoto», pour tout ce que l'entreprise lui a apporté. Elle part, en Belgique, où elle écrira un livre intitulé Hygiène de l'assassin. En 1993, elle reçoit une lettre de Tokyo, cette lettre dit: «Amélie San, félicitations» signée Mori Fubuki. Amélie est ravie, car en plus ce mot est écrit en japonais.
Quand j'ai lu l'histoire Stupeur et tremblements, j'ai beaucoup apprécié.
Par contre, quand j'ai vu le film, je l'ai beaucoup plus apprécié, car j'ai mieux compris l'histoire. Et la note que j'attribuerai à cette histoire, est 4.
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Amélie.meneghin
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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Nothomb, Amélie
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Ce livre écrit par Amélie Nothomb explique que dans certaines grandes entreprises japonaises règne une grande autorité. Dans ce livre, il n'y a pratiquement pas d'actions, ni de suspense. Il y a beaucoup d'humiliation envers Amélie, alors qu'elle mérite beaucoup mieux car elle subit l'humiliation, l'angoisse et surtout l'inexorable descente dans les degrés de la hiérarchie, ce qui pourrait lui provoquer un genre de dépression. Comment voulez-vous que ce livre plaise aux adultes ou adolescents, alors que tout ou presque est négatif dans ce roman? Un livre négatif c'est comme une personne désagréable, (qui n'a rien de positif) comment voulez-vous qu'on la respecte?
C'est pour cela que ce livre est une chute totale de la lecture ou bien même de la narratrice.
Mon avis est que ce livre ne m'a pas plu. Il était sans action, sans suspense, sans joie, sans rire, juste quand il fallait se moquer d'une personne, ou bien même c'était ironique... Ce livre m'a paru ennuyant.
Même sans savoir la fin du roman cela ne m'a pas gênée car même si je savais ce qui se passait à la fin de ce roman, cela ne m'aurait pas fait changer d'avis.
En bref pour moi ce roman ne m'a pas plu, il m'a paru ennuyant, sans action, du rire juste ironique ou moquerie, et n'avait aucun sens.
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Cynthia B
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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Nothomb, Amélie
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Le livre raconte l'histoire d'une occidentale qui arrive dans le monde nippon, et qui décrit, dénonce le système japonais. Tout au long de l'histoire, la narratrice montre comment le monde nippon conçoit une image des occidentaux, et comment en s'acharnant dessus, on peut les réduire à «moins que rien». Tout en décrivant ce système, la narratrice s'y soumet, malgré une certaine réticence, et la tension qui pèse sur son esprit au point de la rendre folle. Elle montre ce que les nippons ont toujours caché aux autres au fur et à mesure que l'entreprise la rabaisse, l'amenant au rang en-dessous de celui que «moins que rien». Elle y dénonce la discrimination, l'abus et le vice dont les nippons font preuve envers les occidentaux et même vis-à-vis des autres au sein de l'entreprise.
J'ai trouvé ce livre inintéressant pour de multiples raisons, dont celles-ci:
-ce livre ne fait pas parti de mon registre
-une histoire trop lassante et répétitive
-trop de temps passé à se comparer avec n'importe quoi
-elle raconte trop ce quelle pense
Malgré ces raisons et biens d'autres, ce livre comporte DEUX points positifs, ce qui lui aurait valu la note de 0.5 si elle avait existé:
-il est court
-il décrit bien le système nippon, malgré une minimisation des règlements
Je l'ai trouvé très «bas», impossible à accrocher. Il est parfois difficile de différencier ses «rêves» de la réalité.
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Keïtaro
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2009
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Nothomb, Amélie
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Je suis navré de lire qu'il y a des gens qui se permettent de juger de manière très négative, cette critique de la société japonaise est à mes yeux très réaliste.
Je vis et travaille à Tokyo depuis 2 ans, j'y apprends aussi le japonais, je peux vous certifier qu’ici la liberté d'expression est mal tolérée; il faut penser comme tout le monde, sinon plus personne ne vous parlera. J’ai travaillé dans des restaurants soi-disant «Français» et je pensais que ce serait la meilleure expérience de ma vie; à l'heure actuelle je suis vraiment déçu, j'ai été traité comme un moins que rien, j'ai été renvoyé à peu près tous les deux mois. On ne doit jamais montrer ses sentiments, il faut toujours mentir, c’est très fatigant; de plus, si vous travaillez ici, on vous demandera d’en faire toujours plus de manière extrême, comme l'a vécu Mlle Nothonb avec les photocopies.
Les Japonais vivent pour le travail, le besoin de se dépasser est très fort, et très extrême; si vous venez ici et si vous faites l'effort de vraiment regarder les choses et les humains tels qu’ils sont, vous apprendrez beaucoup de choses.
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Rudeyes
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
2/1/2008
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Nothomb, Amélie
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Je ne vois pas en quoi ce livre est raciste. Amélie Nothomb raconte sa première expérience professionnelle dans une entreprise japonaise. Cela ne signifie pas que toutes les entreprises japonaise sont pareilles. Il s'agit plutôt du «choc des cultures». De plus, malgré les humiliations subies tout au long de son CDI, elle a respecté leurs coutumes sans broncher, elle a toujours essayé de trouver le bon dans le pire,que ce soit dans les situations qu'elle subissait ou dans ses supérieurs et collègues. Moi, je serais partie en claquant la porte!!!
Si vous avez lu Biographie de la faim, vous saurez qu'elle est née au Japon et qu'elle y a vécu les plus belles années de sa vie. Elle adore ce pays.
Il faut voir le côté philosophique de son histoire: toujours respecter les autres et leur coutume,toujours se relever après les coups durs,croire en soi même si personne ne croit en vous,et toujours garder une bonne dose d'humour.
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Rigolote
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
12/1/2007
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zéro
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Nothomb, Amélie
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Je ne critique pas les qualités littéraires de ce roman, mais le racisme latent qui souffle entre ces pages. On peut dire qu'il s'agit d'un roman et que la réalité japonaise n'est évidemment pas ainsi, mais quand je lis les commentaires de beaucoup de lecteurs ci-dessous, je ne peux que voir que trop de gens prennent son analyse pour argent comptant : ainsi donc, le Japon serait méprisant pour notre petite Belge? Ainsi, il serait raciste pour les occidentaux? Ainsi, les chefs seraient des gros pervers qui beuglent quand y'a plus de papier? Ainsi tout le monde serait soumis et ne protesterait jamais?
Ben voyons. C'est pas du Japon, dont Amélie nous parle là, mais de « son Japon », ou alors d'un ailleurs imaginaire comme lorsqu'au XVIIe on écrivait des « Lettres persannes ».
Mais alors, j'eusse aimé que Nothomb plante clairement son ailleurs, son monde qui n'existe pas. Sans faire de la SF, qu'elle indique que cela se passe dans une société lambda quelque part dans le monde...
... et que son roman soit ce qu'il est, un roman sur les relations sado-maso, sur la fascination du pouvoir personnel...
... et ainsi, tout cet aspect « analyse d'une société japonaise » que visiblement elle n'a pas comprise (a-t-elle vraiment mis les pieds au Japon?? Voulait-elle se venger de quelqu'un? de quelque chose? pour écrire de telles horreurs...)
… et qu'elle ne participe pas à ce mouvement général anti-société-japonaise. Le Japon n'est pas parfait, mais à bien des égards, il offre une qualité de vie, une liberté, une qualité sociale, un rythme de vie en entreprise très similaires à la France, et parfois supérieurs.
Brûlez les pamphlets et allez voir vous même au Japon ce qu'il s'y passe!!
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Kalamari
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
10/1/2006
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Nothomb, Amélie
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Ce livre comporte, il est vrai, des points positifs : son style assez remarquable, son analyse, sa longueur (manquerait plus qu'il soit long...).
Néanmoins, le contenu est on ne peut plus nul. Que ce soit la description d'une société japonaise ignoble (ce qui doit être plus nuancé dans la réalité, je pense et j'espère), un racisme anti-occidental, ou tout simplement le masochisme pur et dur de l'écrivaine, on a l'embarras du choix!
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Robinson
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
8/1/2005
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Nothomb, Amélie
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Amélie Nothomb est une romancière, il ne faut pas l'oublier quand on analyse son excellent ouvrage Stupeurs et tremblements. Elle met en scène admirablement un véritable problème de société, celui de la place qu'on accorde, au travail, aux jeunes et aux non formés en général. Plus encore, elle présente la souffrance de celui qui n'est pas considéré dans le monde du travail, le « placardisé » qui n'est pas forcément un jeune d'ailleurs. Son grand ouvrage est unique, car il n'est pas un reportage, mais il reste un témoignage poignant. La lecture d'un tel document ne laisse personne indifférent. En fait, chacun le lit avec sa spécialité. Un psychanalyste y trouve autant son bonheur qu'un jeune embauché en mal d'adaptation face à la hiérachie vieillotte, plus propice à la reconduction qu'à l'innovation. C'est la souffrance de cet état au travail qui sévit encore trop souvent. Amélie le présente sous une forme plaisante pour que la lecture soit possible, pour que les lecteurs soient nombreux à réfléchir au problème de société. Quelle place laissons-nous à nos confrères au travail? Le renforcement de l'autorité jusqu'à l'absurdité n'est-il pas précisément l'exposition de l'incapacité? L'utopie de l'équipe productive, version japonaise, pour des lecteurs francophones, quelle bonne idée, au contraire de ce qu'en disent ses détracteurs. Il fallait l'avoir! Elle a eue. Ouvrage unique et méritant.
Personne n'a encore réussi à la dépasser...
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Renée Lambert
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
1/1/2005
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Nothomb, Amélie
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Pour avoir vécu deux ans au Japon, il me semble que l'analyse commune de Stupeurs et Tremblements est totalement erronée. Ce livre autobiographique n'est certainement pas la dénonciation d'une société machiste : l'auteur connaît parfaitement le rôle dominant (même s'il est caché) de la femme japonaise. Le sujet du livre est tout autre.
Résumons le récit : la descente progressive d'une jeune femme dans les méandres d'une société nippone. Ce que l'on oublie : la chute est non seulement volontaire, mais en plus appréciée par l'auteur. Car ce que recherche l'auteur tout au long de son périple est simplement un anéantissement total : sous les chiffres de la comptabilité, sous la beauté vénéneuse de sa supérieure hiérarchique, dans les tâches les plus scatologiques, et finalement dans les immondices d'une poubelle de bureau une nuit d'hallucination. Jamais une phrase de contestation ne vient interrompre cette fable psychanalytique. Ce rêve éveillé, faisant plus référence au récit de Furyo qu'à un essai économique, est une allégorie sexuelle se servant d'un décors asiatique comme théâtre de rapports sado-maso.
Quiconque lit cet ouvrage sous l'angle socio-économique fait non seulement preuve d'une totale ignorance des relations de la société civile japonaise, mais en plus passe totalement à côté d'un ouvrage finalement simple, remarquablement bien écrit, mais qui mérite plus de figurer à côté d'un ouvrage de Sade que d'une étude de Keynes.
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Patrick Larbier
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
11/1/2003
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Nothomb, Amélie
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Il s'agit là à ce que je crois de l'un des premiers romans d'Amélie Nothomb, et parmi ceux que j'ai lus d'elle, c'est celui qui est le plus apparemment autobiographique. C'est la version romancée de son expérience au sein d'une grande entreprise japonaise. Amélie, qui d'ailleurs conserve son prénom dans le livre, est insignifiante au sein de cette grande entreprise, et loin de s'en plaindre, cherche à y passer encore plus inaperçue. Elle aimerait se fondre dans la masse silencieuse des travailleurs, mais son caractère européen lui fait commettre gaffe sur gaffe et elle attire régulièrement sur elle les foudres de la hiérarchie. Bien que partie d'un poste modeste, elle dégringole les échelons un à un jusqu'à se trouver au plus bas. L'intrigue n'est pas l'élément principal de ce roman, il n'y a pas à proprement parler de rebondissements comme Amélie Nothomb avait pu nous y habituer dans d'autres ouvrages, en tout cas ils sont moins « spectaculaires ». Son style est en évolution, il s'agit là d'un de ses premiers livres, je vous le rappelle. Mais il y a déjà ses pointes d'humour mordant et l'ironie de situations absurdes très sérieusement décrites. Le portrait de la société japonaise est sarcastique et plus encore le monde du travail dans ce pays. En même temps, on trouve une certaine tendresse de l'auteur pour le Japon et ses habitants. On passe un bon moment, mais j'ai préféré par exemple Hygiène de l'assassin ou Les catilinaires.
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Venise
(34 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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| | Date :
4/1/2002
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ajoutez votre critique |
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Nothomb, Amélie
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Ce livre a été encensé un peu partout, et pourtant je le trouve d'un
racisme et d'un francocentrisme quasiment scandaleux.
L'histoire qui y est racontée est en soi intéressante, et le style
contribue à faire de ce roman un ouvrage intéressant, mais le
problème se situe lorsque Mme Nothomb cherche à faire passer le cas particulier pour le cas général, c'est-à-dire un roman pour une
analyse des Japonais.
Honnêtement, la plupart des choses pour lesquelles elle se
scandalise lui seraient arrivées, voire en pire, en France. Je vois
en fait mal quel employeur français, et quels collègues, auraient pu
supporter un tel comportement dans le cadre du travail!!
Dès la première phrase : M. X obéit à M. Y qui obéit à M. Z, etc., on
semble vouloir dénoncer la hiérarchisation d'une société japonaise.
Vous qui travaillez en France, avez-vous franchement le sentiment
que les choses y soient différentes?
Et je vois aussi mal en quoi les relations S/M entretenues par
l'auteur avec sa collègue féminine peuvent être généralisées au Japon
en son entier.
Enfin, je trouve la phrase où Nothomb se demande pourquoi
les femmes japonaises ne se suicident pas toutes absolument
imbécile, d'une naïveté qui serait touchante si elle n'avait pas un
relent délétère de racisme sous-jacent.
Sachez aussi, Mme Nothomb, que beaucoup de Japonaises considèrent la société française comme globalement macho, et peu de gouvernements
français ont eu autant de femmes ministres que le gouvernement
Koizumi.
Qu'elle écrive des romans, o.k., mais qu'elle s'en serve comme
vengeance pour son expérience malheureuse, non!!
Un livre à éviter, si l'on veut avoir une vision objective d'un
pays... finalement très très proche de la France...
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Sylvain
(première critique)
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Genre : Fiction
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| | Date :
avant 2001
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ajoutez votre critique |
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Nothomb, Amélie
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Un épisode apparemment vécu d'Amélie, un an de sa vie passé de son
plein gré dans une entreprise japonaise, il y a dix ans....
La bonne plume acerbe, humoristique et grave à la fois, nous plonge
dans ce monde particulier qu'est la notion du «travail» au Japon
contemporain...
Avec beaucoup de simplicité, Amélie décrit sa «chute sociale» vers...
un niveau de considération surprenant!
Beaucoup de bons passages, certaines comparaisons peuvent
néanmoins étonner, voire heurter.
Se lit vite, peut-être un peu trop vite, d'ailleurs...
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Georges Janssens
(3 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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| | Date :
avant 2001
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ajoutez votre critique |
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Nothomb, Amélie
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Le titre suggère une histoire d'horreur. Pourtant, il n'en est rien. Du
moins il ne s'agit pas de l'horreur à laquelle on pense spontanément.
Ni Dracula, ni Frankenstein dans ce roman. Que des gens civilisés qui
ont parfois des comportements qui donnent des frissons.
Stupeur et tremblements, c'est l'attitude que l'on doit avoir en face de
l'empereur du Japon. Ou de ses supérieurs au bureau. C'est ce que
découvre, en 1990, une jeune Belge au début de la vingtaine
embauchée dans une grande compagnie nipponne. Quelle fonction y
occupe-t-elle? Il faudrait plutôt poser la question au pluriel. Et donner
la réponse serait vendre la mèche puisque l'intrigue, s'il y en a une,
tient toute là: quelle responsabilité va-t-on confier à cette étrangère qui
accumule les gaffes et irrite ses supérieurs?
Mais au-delà des rebondissements dans la carrière de la jeune femme,
le plus délectable dans ce livre est la plongée dans la culture
japonaise. On sait que les Japonais ont une vision particulière du
travail et de l'honneur. On en voit les répercussions quotidiennes dans
ce roman.
Ceux et celles qui ont lu Hygiène de l'assassin, de la même auteure,
seront surpris du changement d'ambiance. L'humour n'y est pas de
même type. Grinçant dans Hygiène, il est ici plus doux, plus près de
l'humour vrai, qui suppose qu'on se paie la tête des autres mais aussi la
sienne. L'auteure s'en prend aux deux avec art.
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Jean-François Giguère
(2 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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| | Date :
avant 2001
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Nothomb, Amélie
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Splendide dans sa cruauté culturelle!
J'ai lu hier une uvre extraordinaire. Je l'avais commencée sans
savoir, environ une heure avant de dormir, m'étais-je dit. Finalement,
je n'ai pu me détacher de ce livre diabolique qui m'est resté accroché
dans les mains...
L'auteur, Amélie Nothomb, y raconte sans doute une partie de sa
propre histoire. Celle d'une femme occidentale travaillant pendant un
an dans une entreprise japonaise où elle descendra graduellement les
échelons professionnels. Malgré ses grandes capacités - elle parle
français, anglais et japonais -, sa supérieure la reléguera aux
«oubliettes».
Malgré tout, la narratrice prend la chose du bon côté et joue son rôle :
elle obéit et prend soin (la plupart du temps) de s'adresser à ses
supérieurs avec «stupeur et tremblements». Grâce à elle, on découvre la
culture japonaise sous un aspect inédit: ses yeux occidentaux. Parce
que dans ce monde, ce sont les Blancs qui sont les êtres inférieurs, les
victimes de racisme!
C'est une histoire passionnante de l'introduction à la conclusion.
Chaque page est un bijou. Il n'y presque pas de dialogues, peu de
personnages, c'est ainsi qu'Amélie-san nous montre que la philosophie
nipponne, où le bonheur est un châtiment, n'est logique que dans son
ensemble.
J'ai terminé le livre estomaquée et pensive. Cette culture, si contraire
à la nôtre, n'est-elle pas plus réaliste? J'y songe encore...
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Valérie Harvey
(3 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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| | Date :
avant 2001
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ajoutez votre critique |
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Nothomb, Amélie
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Avec ce huitième roman, Amélie Nothomb nous livre le plus
autobiographique de ses écrits; il s'agit, en effet, de son expérience
de l'entreprise japonaise dans laquelle Amélie pensait pouvoir mettre
à profit la maîtrise de cette langue. Mais si elle connaît le japonais,
elle ne connaît pas encore les règles de ce peuple. C'est avec
beaucoup d'humour qu'elle fait partager au lecteur la découverte de
cette société très hiérarchisée... hiérarchie qu'elle va continuellement
descendre pour terminer sa courte carrière japonaise en dame-pipi!
Le passage où elle décrit la retenue du Japonais aux W-C est un
délice; quant à celui où elle analyse le piège de la condition féminine,
il est époustouflant!
Ses détracteurs diront que ce n'est pas un roman, mais un récit
supplémentaire dans lequel Amélie se met en scène... mais moi, je dis
que lorsque votre vie est un roman, pourquoi ne pas en faire bénéficier
les autres, surtout si vous avez l'art de la raconter avec beaucoup
d'esprit!
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Christelle Divry
(832 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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| | Date :
avant 2001
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Livre(s) de Amélie Nothomb critiqué(s) sur le Guide
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