Cet essai se veut une redéfinition de la culture dans notre société. Il y traite des problèmes reliés à la culture générale qui diminue d'importance dans l'opinion publique. Il nous explique que dans l'entourage des camps de concentration durant la guerre, il y avait de nombreux musées et parmi les dirigeants des camps, il y avait de nombreux admirateurs de Mozart, et de grands lecteurs de littérature. Il en conclut que l'art n'empêche pas l'inhumanité dans les comportements humains.
Il établit le fait que la littérature est de plus en plus compliquée parce qu'il y a dans les livres de nombreux liens avec des faits historiques ou mythiques, qui ne sont plus enseignés dans la scolarité. De plus, il nous explique que la musique est de plus en plus présente partout et qu'elle constitue en grande partie l'éducation culturelle de notre époque.
Ce livre est très intéressant, quoique peu optimiste sur l'avenir de la littérature.