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Vos écrits
 Le forum du Guide - Critiques de livres : Connexes à la lecture : Vos écrits
Icône du message Sujet: Début de mon roman ... Répondre Nouveau sujet
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annalekt
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Citer annalekt Réponsebullet Envoyé : 28 août 2007 à 11:23
Message posté par Bobby

Ha ha, de Litch !

K'ben van Schaerbeek, bij Brussel. J'y tiens une librairie tabacs/journaux...
à wuà di litch!
quel chance tu as de tenir une librairie(mis a part les horaires),mais c'est un de mes reves de travailler dans une librairire,et les heures ne me font pas peur.
si tu veux que l'ont papote de tout et de rien,tu peu aller sur le post "pour parler de tout et de rien" ou alors m'envoyer des messages via la messagerie privée,car là, nous ne sommes pas sur le bon post,je le dis avant que l'on nous le signale.à bientot et bonne soirée.
Un clown,c'est toujours triste.
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anais
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Citer anais Réponsebullet Envoyé : 03 septembre 2007 à 04:55
bravo Llandon !!
je t'admire , je ne serai pas capable d'écrire !!!!
et vive les critiques de ça et des autres , c'est fantastique de voir comme juste quelques petites choses améliorent le 1er chapitre
BRAVO
« Une bibliothèque est une chambre d'amis » -- Tahar Ben Jelloun

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Llandon
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Citer Llandon Réponsebullet Envoyé : 03 septembre 2007 à 05:41
Merci beaucoup Anais, rien ne me fais plus plaisir !
je suis vraiment désolé de ne pas encore pouvoir poster mon second chapitre, mais je suis en ce moment débordé et je n'ai pas trop le temps de me consacrer à l'écriture, à mon plus grand regret !
Mais dès la rentrée, je m'y remet de pied ferme !
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anais
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Citer anais Réponsebullet Envoyé : 03 septembre 2007 à 05:45
Message posté par Llandon

Merci beaucoup Anais, rien ne me fais plus plaisir !
je suis vraiment désolé de ne pas encore pouvoir poster mon second chapitre, mais je suis en ce moment débordé et je n'ai pas trop le temps de me consacrer à l'écriture, à mon plus grand regret !
Mais dès la rentrée, je m'y remet de pied ferme !


super !
prends ton temps , l'ortographe ça se corrige aprés le tout c'est déjà d'avoir la trame
et là tu me sembles bien parti
« Une bibliothèque est une chambre d'amis » -- Tahar Ben Jelloun

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Llandon
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Citer Llandon Réponsebullet Envoyé : 22 septembre 2007 à 14:39
Voici (enfin ^^) mon second chapitre que j'avais un peu abandonné aux suites de la rentrée ! En espérant qu'il vous plaise ! Et comme d'habitudes, vos critiques sont les bienvenues !

Le lendemain matin, l’infernale machine retentit dans tout l’appartement, vomissant une sonnerie aigüe fort déplaisante pour une âme aussi contrariée que Susan en début de journée. Bondissant instantanément, la jeune femme envoit valser le réveil d’un coup de poing rageur contre le mur. Les cheveux emmêlés, l’haleine chargée et les yeux gonflés, Susan émerge enfin de son long sommeil.
Il est cinq heures trente lorsque ses deux pieds se posent sur le parquet froid. Il fait encore noir dehors à cette heure-ci. Elle enfile alors sa vieille robe de chambre grise, qu’elle garde depuis l’âge de 18 ans et se passe de l’eau sur le visage, essayant tant bien que mal d’effaçer cette sensation de lourdeur. Une chaleur suffocante règne dans l'appartement, laissant paraitre une buée opaque contre les vitres.
Une heure plus tard,après un petit déjeuner copieux, fait de tranches de pain de mie grillées tartinées de beurre et d’un jus d’orange frais, Susan file à la salle de bain se brosser les dents et se maquiller avant d’ouvrir les volets. Un courant d'air frais pénètre alors dans le salon, refroidissant rapidement les lieux d'un souffle glacial. Quelques flocons s'écrasent alors lourdement sur le linoléum blanc, toubillonnant dans le courant d'air.
Complètement éblouie, elle reste émerveiller par la vision quasi féerique qui s’offre à ses yeux maintenant bien réveillés. La neige a ensevelie entièrement la ville sous une épaisse couche brillante, pleine de petits cristaux luisants tel des diamants. Quelques personnes marchent dans la rue à pas de loup pour ne pas tomber dans la neige, certains parlent gaiement de cette nouvelle météorologique inattendue, tandis que d’autres ,plus petits, se lançent des boules glaçées sur le chemin de l’école primaire.
Une véritable euphorie semble avoir pris possession de Bazas,cela n’était pas arriver depuis de nombreuses années, à tel point que même les personnes les plus âgées s’en souvenaient à peine. Susan se souvint alors de la fois où son arrière grand-père lui avait raconté quelques anecdotes de sa vie durant la Seconde Guerre Mondiale, notamment le jour où les Allemands étaient venus récquisitionner des vivres et s'étaient retrouvés bloquer à cause d'une violente tempête de neige qui avait subitemment éclatée une matinée de janvier, obligeant son arrière grand-père et sa femme à les loger le temps que cela cesse. Un souvenir qu'il avait d'ailleurs raconté avec beaucoup d'amertume.
Toute revigorée, Susan partit au travail avec le sourire, elle marche péniblement dans la neige, laissant derrière elle de profondes empreintes givrées.
Sur sa route elle croise alors une de ses collègues de travail, Elise , qui travaille dans l’administration, bien au chaud dans les bureaux. Elle habite elle aussi non loin du lycée et s’y rend à pied chaque matin.
- Bonjour Susan ! , s’exclame t-elle avec un large sourire, tu as vu ça un peu !
- Salut , elle marque une pause le temps de regarder les alentours, elle se croirait plonger dans un de ses fameux films fantastiques où la beauté des paysages émerveillent le spectateur; oui c’est fabuleux, ce matin en me réveillant je n’y croyais même pas. Tu te rappelles du "Monde de Narnia" qu'on était allé voir ensemble ?!
Elles éclatent toute les deux de rire et continuent leur chemin ensemble dans la bonne humeur.
Susan est tranquille ce matin et pour le reste de la journée d’ailleurs, les bus scolaires n’ont pas pû circuler avec une telle neige et les trois quarts des élèves sont retenus chez eux jusqu’à nouvel ordre. Il semblerait que la semaine entière se déroule ainsi, et Susan s'en accomode fort bien. Elle n’aura pas à supporter les rires hystériques des adolescentes « en chaleur » comme elle dit, ou encore le va-et-vient incessant de quelques garçons en mal de maturité autour d’elle.
Cette fois-ci c’était différent, c’est comme si l'établissement lui appartenait. Mais soudain son rêve se brise en mille morceaux à l’appel d’une voix stridente, très familière.
-Susan !
Elle se retourne et voit alors Madame Sigma courir vers elle au loin sous le hall, courir est un bien grand mot, du moins trottine t-elle.
-Oui !
La proviseur arrive à son niveau, légèrement éssoufflée, les mains sur les hanches.
-Vous pourriez faire mon bureau, j’ai constaté un baby-boom d’araignée, c’est plutôt écoeurant !
Susan camoufle alors son fou rire et accepte volontier, de toute façon elle n’en a pas le choix. Puis elle se remémore la veille lorsqu’elle était entrée dans le hall de l’immeuble où une dizaine d’arachnides infâmes tissaient leurs pièges diaboliques.
Le bureau de Madame la Proviseur est un vrai foutoir, pas étonnant que des bestioles y aient trouvées refuge. Des piles de papiers sont amoncellées sur le bureau comme de vulgaires chiffons, le porte-manteau est bondé de vestes que Lisa oublie chaque soir, sans parler des stylos éparpillés sur le sol et des rubans de sctotch accrochés sur les meubles.
Susan branche alors l'aspirateur et commençe sa lourde tâche sous l'oeil amusé de Madame Sigma, qui lui indique les moindres recoins à nettoyer, avec une banalité provocante.
Lisa est une vraie peste au boulot, une véritable caporale qui aime martyriser ses troupes. Ses talons aiguilles résonnants dans les couloirs de façon sinistre, son rictus dédaigneux, son regard froid, sa marche droite et sans faux pas, sans oublier son chignon stricte et emplie de laque coiffante, sont autant de détails qui font trembler les murs du lycée. Elle aime l'ordre et la discipline, bien normal non ? Oui, mais elle y rajoute son petit grain de sadisme. Intarissable chasseresse, elle traque les couples d'étudiants dans les moindres recoins de l'établissement, les délogeant avec un grand coup de pied au derrière et quelques heures de retenues durant lesquelles ils " passeront plus de temps à gratter la feuille qu'à se lécher le visage". La première fois qu'elle avait entendu cela, Susan avait failli exploser de rire sous le regard glacial de la proviseure, qui était on ne peut plus sérieuse.
Ainsi pendant une heure de temps, elle nettoya le bureau du mieux qu'elle pût, essayant de paraitre la plus ravie possible, des voluptes de poussière s'envolant gracieusement dans les rayons rassurants du soleil.
La sonnerie criarde retentit alors dans tout le lycée, entrainant une vague d'adolescents internes en dehors des salles de classe, dans un brouhaha assourdissant. Susan pose son balai et son seau, s'essuie le front du revers de la main et file au réfectoire sans attendre, tenaillée par la faim.
La neige continue de tomber, imperturbable. La cour intérieur de l'établissement est totalement prisonnière des flocons, les plantes vivaces ,qui, l'été assurent un spectacle de couleurs permanent ,se terrent maintenant sous cette protection hivernale.
Le réfectoire est situé à l'opposé des salles d'enseignement, il faut traverser une grande cour avant d'y être au chaud. Les élèves font déjà la queue, Susan s'aperçoit alors qu'il n'y a qu'une centaine d'élèves, des internes pour la plupart, retenus prisonniers dans le lycée.
A la table les cinq autre agents d'entretien sont réunis. Susan leur lançe un sourire amical tandis qu'elle sélectionne ses plats, un long plateau dans les mains, et se joint à eux.
Ils discutent vivement pendant une heure de temps, relatant leurs petits exploits de la matinée parmis lesquels le nettoyage du bureau de Madame la Proviseure. S'en suit un grand éclat de rire où quelques étudiants se retournent,stupéfaits. Le parfum écoeurant de friture qui s'échappe des cuisines, laisse Susan sur sa faim.
La récréation terminée, la jeune femme reprend ses habitudes routinières et part passer la serpilière au premier dans les couloirs de l'aile est de l'établissement, où une odeur désagréable d'hôpital y règne en maitre, d'où l'absence surprenante d'étudiants désireux d'être tranquilles.
Seule, elle ressasse alors de vagues idées, comme son célibat ou encore le plat qu'elle va manger ce soir. Il lui tarde de rentrer chez elle, de profiter un temps soit peu de la vie "normale". Ses temps de travail lui prennent absolument toutes ses soirées et ses matinées, il n'y a que le weekend où elle se sent revivre un peu, s'abandonnant aux plaisirs des grasses matinées et des sorties en famille. Le weekend dernier, elle était partie à Bordeaux pour visiter une exposition d'orchidées au Jardin Botanique de la Bastide avec ses parents et sa soeur, Laëticia. Elle s'était émerveillée de la beauté resplendissante de ces créatures végétales, oubliant un instant ses problèmes, plongée dans ce monde enchanteur où l'alliance des couleurs pétillantes et des formes étranges forment un grandiose tableau vivant. Elle en avait d'ailleurs acheté une, qu'elle avait surnommée Aphrodite en raison de son étincellante couleur blanche.
Mais les vacances de Noël arrivent bientôt, et à cette pensée, Susan redouble d'effort pour faire luir le carrelage blanc et commençe à entonner une mélodie dans le silence inquiétant des lieux.
Dix sept heures. La sonnerie hurle de nouveau pour annonçer la fin des cours, peu nombreux en cette journée enneigée. Les quelques internes regagnent leurs chambres, tandis que d'autres repartent à pied chez eux, au centre-ville.
Le soleil s'enfonce lentement dans l'horizon, laissant paraitre les derniers rayons de la journée, réchauffant les murs de pierre de l'ancien séminaire.
Susan en a encore pour un petit moment, elle est toujours la dernière a quittée l'établissement. Elle descend le vieil escalier de pierre qui mène au premier, les marches sont toutes ondulantes, marquées par le passage du temps, sous les piétinements incessants des bonnes soeurs de l'époque et des jeunes étudiants.
Ses talons claquent sur la pierre marbrée, résonnant contre les murs tels les lamentations inquiétantes des fantômes du passé. Cette ancienne maison de bonnes soeurs a toujours suscitée une crainte profonde chez Susan lorsque le voile ténébreux de l'obscurité nappe la bâtisse d'ombres mouvantes. Les arbres de la cours se balançent au grès du vent glacial, froissant les branches de craquements sinistres, qui viennent grinçer contre les vitres.
Susan est alors en proie à sa paranoïa, qui semble se réveiller de façon cyclique comme un monstre sanguinolent qui darde sa langue fourchue dans les méandres traumatisés de son cerveau. Ses vêtements lui collent à la peau, libérant des sueurs froides. Son corps réagit alors violemment à cette secousse d'adrénaline, libérant un terrible frisson le long de son échine. Elle ravale alors sa peur et s'empresse d'entrer dans la réserve où une chaleur bienveillante enivre son corps crispé, secoué de spasmes incessants.
Elle range son seau sur une étagère bancale parmis la foultitude de produits d'entretiens, qui répandent dans la pièce un ensemble d'odeurs synthétiques, rappellant maladroitement des senteurs tropicales, et plaçe son balai-brosse dans un coin. La pièce est plongée dans une clarté menaçante, jaune pâle. La pathologie psychique de Susan l'empêche de voir le monde sous sa vrai réalité une fois que sa peur a pris les commandes de son esprit. Les banalités du quotidiens deviennent alors de véritables sources de cauchemar. Son médecin lui a souvent refuser de lui donner des médicaments, sous prétexte que c'était de simples crises d'angoisses, qualifiées de "passagères". Mais la jeune femme en était victime de plus en plus souvent, surtout à partir du crépuscule, où la lumière rassurante de l'après-midi laisse place à l'obscurité funeste de la nuit. Ses remèdes les plus efficaces sont la fuite ou l'isolement. Elle se sent en sécurité dans cette pièce étroite, elle pourrait même y passer la nuit, attendre le lendemain pour sortir.
"Tu es folle Susan, complètement folle !!! Que peut-il t'arriver ici dans ce lycée paumé ?! Hein tu peux me le dire !!!!"
Ses mains sont moites, ses spasmes reprennent de plus belle à l'idée de sortir de ce nid de chaleur. Elle tend alors sa main droite sur la poignée d'acier, froide comme la lame aiguisée d'un poignard. Elle tremble de tout ses membres.
"Et si un taré se tient juste derrière cette porte, brandissant une hache au dessus de sa tête, te broyant l'épau....
Rooh ça suffit maintenant ! Prends ton courage à deux mains et pousse cette porte de merde une bonne fois pour toute !!!"
Elle entrebaille alors la porte, petit à petit, dévoilant à chaque fois un peu plus d'obscurité. Des carreaux, une arche, la cour intérieur, la neige, la morsure du froid, le hululement du vent..... elle sort alors de sa cachette, s'emmitouflant dans les pans de son pull et court en direction de l'accueil.
Josy se tient devant son ordinateur, à moitié endormie, les cheveux en vrac et le maquillage débordant. La concierge n'en finit plus de s'ennuyer à longueur de journée, elle ouvre et ferme les portes aux étudiants, elle répond au téléphone pour des pacotilles, elle mâche le même chewing-gum pour couper la faim et enfin elle parle avec des professeurs ennuyeux. Et surtout... elle reste dans ce fichu lycée toute l'année.
Susan émerge alors dans son bureau, toute appeurée.

- Salut chérie ! Quoi d'neuf ?

Susan déglutit avec effort et s'asseoit sur une chaise en bois, ou plutôt s'écroule dessus. Elle respire bruyamment.

- On dirait que tu t'es faites poursuivre par une meute de chiens enragés ma pauvre Susan!
- Non c'est juste que.....je suis ..... un peu enrhumée !
- Rohh salop'rie d' temps ! J'te jure qu'on va passer un hiver épouvantable !

Susan rumine ses idées noires, écoutant à peine Josy, toujours en train de s'égosiller dans son argot agaçant. Elle quitte soudain la pièce et s'enferme dans les W.C, elle ouvre le robinet et déverse dans sa bouche asséchée un mince filet d'eau. L'onde glaciale dévale dans sa gorge, s'enfonçant dans les profondeurs abyssales de son estomac, avant de remonter légèrement par une force violente.
La jeune femme vient de hurler. La petite glace murale au dessus du lavabo blanc est maculée d'une écriture rouge sang: T'aurais dû rester dans la réserve !

Voilà !
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Citer annalekt Réponsebullet Envoyé : 23 septembre 2007 à 09:18
bonjour Llandon,c'est bien,mais le premier chapitre m'a plus tenu en halaine,ici je trouve que ça s'essouffle déjà un peu,mais ce n'est que mon simple avis,car comme je te l'ai dejà dit je n'ai pas le quart de ton talent.mais surtout continue.bonne journée.
Un clown,c'est toujours triste.
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