et si on s'amusait
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Categorie: Connexes à la lecture
Nom du Forum: Jeux littéraires et autres
Description du Forum: Acrostiche, anagramme, nouvelle à relais...
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Date: 25 avril 2024 à 16:26
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Sujet: et si on s'amusait
Posté par: framl
Sujet: et si on s'amusait
Posté le: 05 septembre 2006 à 11:34
me revoila apres un petit temps d'absence
pour vous proposer un petit jeu litterarire
un petit jeu pour les ecrivains en herbe comme moi
il suffit de choisir un theme puis d'ecrire une nouvelle et ensuite de les mettre en commun et de faire voter les gens pour elire celle qu'ils preferent
si cela vous tente on peut organnise ca
a tres bientot
j'espere avec une repose favorable
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francois
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Réponses:
Posté par: Heinril
Posté le: 11 octobre 2006 à 09:58
Thème :
Un enfant cause à son plus grand soucis, involontairement, une catastrophe diplomatique.
Ca vous tente ?
^^,
Ou bien les derniers jours des humains.
Ou bien les aventures de ambre, la fleur sauvage assassinée par un lapin blanc tueur. Quoi un clin d'oeil ?
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Heinril, parcoureur de mondes, d'univers et de pensées...
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Posté par: Heinril
Posté le: 01 décembre 2006 à 09:58
Peux-tu redéfinir ?
C'est dommage d'abandonner.
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Heinril, parcoureur de mondes, d'univers et de pensées...
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Posté par: Patrick Delay
Posté le: 06 janvier 2007 à 08:56
Ne cherchez pas les rimes elles sont allées à Toires
Ambre, fleur sauvage.
Ambre était une petite fleur très sauvage
Asociale, elle vivait près d'un vieux champignon
Tout rongé par les vers, et plus qu’à moitié sourd
Deux cailloux tout moussus la protégeaient du vent.
Ambre était belle et ses pétales épanouis
Du soleil, reflétaient ardemment les rayons
Par malheur sa beauté n'éblouissait personne
Car Ambre la recluse était toujours très seule.
Courtisée par monsieur le Gazon elle était
Mais l'avait toujours au plus loin repoussé
Elle le trouvait insignifiant, trop terre à terre
Rampant, toujours courbé sous le joug des grands vents.
Alors que fière, debout, elle bravait le courroux
Du terrible aquilon et de sa sœur la pluie.
Ambre aimait, le matin, dans la rosée danser
Elle avait inventé la danse du soleil
Tournant et retournant son cœur et ses pétales
Vers l'astre resplendissant; elle chantait à tue-tête.
Ambre s'ennuyait pourtant et rêvait d'amour,
Mais trop altière, elle gardait ses rêves pour elle.
Panpan était un joli petit lapin blanc
Qui gambadait fièrement du haut de ses deux ans
C'était un lapin Chasseur toujours à l'affût
Du moindre papillon, des belles libellules
Panpan connaissait bien ce cher monsieur Gazon
Et assez souvent il s'invitait à sa table
Ils s'appréciaient beaucoup et se rendaient services
Panpan faisait à Gazon une coupe en brosse
Quant à monsieur Gazon, il lui curait les dents
Gazon racontait tout à son ami Panpan
Qui écoutait sagement, mâchouillant quelques brins.
Les méfaits de la pluie sur son manteau fleuri
Les brûlures du soleil, les dégâts de la taupe.
Panpan de son côté n'était pas trop bavard
Ayant toujours en bouche quelque chose à croquer
Le museau frétillant et les sens aux aguets
Il écoutait, poli, parler monsieur Gazon
Un jour pluvieux, morose, où Gazon déprimait
Il parla à Panpan de déboires amoureux
Lui décrit la fleur Ambre, sa beauté, son dédain
Panpan parti vaquer à ses occupations
L'idée fit son chemin, Panpan suivit le sien
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La culture c'est ce qui reste quand on a tout oublié... J'ai oublié de qui c'était Encore faut-il qu'il reste quelque chose
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