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Jeux littéraires et autres
 Le forum du Guide - Critiques de livres : Connexes à la lecture : Jeux littéraires et autres
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sci-fi girl
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Citer sci-fi girl Réponsebullet Envoyé : 25 janvier 2007 à 23:43
Bon j'essaie à mon tour.

Des bruits de voix étouffées et une odeur pénétrante de désinfectant m'assaillirent à mon réveil. Je sus où j'étais avant même d'ouvrir les yeux. J'avais toujours eu les hôpitaux en horreur. Tout mon corps me faisait mal mais en me rappelant les raisons de ma présence en ce lieu, je m'estimai heureuse de m'en être sorti avec quelques bleus. J'eus alors une surprise de taille quand je voulus me redresser. Il m'était impossible de bouger, j'étais sanglée de la tête aux pieds sur cette saleté de lit d'hôpital. Une infirmière passa la porte avec un sourire avenant. Elle fit ce que faisaient toutes les infirmières, me demanda si je me sentais mieux.
_Ca ira nettement mieux quand vous m'aurez détachée, répondis-je, hargneuse.
_Essayez de rester calme. Je ne peux pas vous enlever ces sangles tant que le médecin ne vous aura pas vue.
Je tentais de me débattre, en vain.
_Je n'ai pas besoin de médecin, je n'ai rien alors détachez-moi.
_Si vous vous agitez, je serai obligé de vous donner un sédatif me prévint gentiment le dragon femelle. Selon les passants qui ont appelés les secours, vous auriez tenté de vous jeter sous les roues d'une voiture.
J'en oubliais un instant de me débattre sous l'effet de la surprise.
_Ce n'est pas du tout ça, protestai-je indignée dès que je recouvris la parole. Je... Je me rendis aussitôt compte du danger à dire la vérité. Cette femme pensait visiblement que j'étais perturbée et parler de cette étrange aventure que j'avais vécu devant le cinéma n'arrangerait pas les choses. J'ai trébuché en voulant traverser.
Cette dénégation maladroite amena un détestable sourire indulgent aux lèvres de ma geôlière.
_Vous pourrez en parler au médecin. Je l'entends justement qui arrive.
Je tendis l'oreille. Ce que j'entendis me glaça le sang. Ces pas qui se rapprochaient, je les connaissais. Je le entendais chaque soir ou presque; ils me ramenaient près de cette vieille piste cyclable, à cette silhouette encapuchonnée, à ces allers et venus à travers le temps, à cette entité démoniaque, sans nom, sans visage qui me conduisait peu à peu vers la folie. J'entendais les pas se rapprocher, pendant que je gisais là, impuissante, terrifiée, plus près, toujours plus près.

Je passe le relai; à vous de jouer.
Lecture, une bonne façon de s'enrichir sans voler personne.
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Patrick Delay
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Citer Patrick Delay Réponsebullet Envoyé : 25 janvier 2007 à 23:45
Bravo, on va pouvoir se remettre au travail


La culture c'est ce qui reste quand on a tout oublié... J'ai oublié de qui c'était      Encore faut-il qu'il reste quelque chose
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sci-fi girl
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Citer sci-fi girl Réponsebullet Envoyé : 26 janvier 2007 à 00:05
Une pénétrante odeur de désinfectant m'assaillit à mon réveil. Je sus où je me trouvais avant même d'ouvrir les yeux. Je découvris les murs blanc de la chambre d'hôpital sans grande surprise, mais les sangles qui me retenaient m'en causèrent une de taille.
Une infirmière au sourire avenant passa le seuil de la porte et récita le petit discours lénifiant que débitaient toutes les infirmières.
_Est-ce que vous vous sentez mieux?
Je ne fis pas le moindre effort pour être polie.
_Enlevez-moi ces saloperies de sangles et on pourra parler après de comment je me sens.
_Je ne peux pas. Vous devez d'abord voir le médecin, et ensuite peut-être, il avisera.
_Je n'ai ni le besoin ni l'envie de voir un médecin. Je veux m'en aller d'ici tout de suite vous m'entendez!
En me voyant me débattre, elle prit un air sévère.
_Si vous vous agitez trop, je serai obliger de vous administrer un sédatif. Les passants qui ont alerté les secours ont dit que vous aviez essayé de vous jeter sous les roues d'une voiture alors quoi que vous en disiez, c'est le médecin qui décidera.
_Mais ce n'est pas du tout ça, protestai-je ébahie et furieuse. Je... Je me tus aussitôt, réalisant qu'en aucun cas je ne pourrais raconter ce qui m'était arrivée. Pas si je ne voulais pas passer pour une folle, hors ce dragon femelle semblait d'ores et déjà persuadée que j'étais salement perturbée. J'ai trébuché en voulant traverser.
Cette dénégation maladroite amena un détestable sourire indulgent sur les lèvres de ma geôlière.
_Vous pourrez en parler au médecin. Je l'entends justement qui arrive.
Je tendis l'oreille malgré moi et aussitôt mon sang se glaça dans mes veines. J'entendais des pas, ces mêmes pas qui arpentaient la piste cyclable de mon enfance, nuit après nuit, cauchemard après cauchemards. Et ces pas se rapprochaient, se rapprochaient et je devinais dans leurs échos cette silhouette encapuchonnée, ce spectre informe qui me poursuivait d'une époque à une autre lors de ses étranges va-et-vient. Ces yeux jaunes démoniaques brillaient dans ce couloir d'hôpital, et j'étais là, sanglée, impuissante, à écouter la matérialisation de toutes mes terreurs nocturnes et diurnes se diriger lentement vers moi, pas à pas.

Voilà, je vous passe le relai.
Lecture, une bonne façon de s'enrichir sans voler personne.
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sci-fi girl
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Citer sci-fi girl Réponsebullet Envoyé : 26 janvier 2007 à 00:08
Flûte! Ne tenez pas compte de mon dernier post. Y a comme qui dirait eu un bug. Sorry
Lecture, une bonne façon de s'enrichir sans voler personne.
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whismerhill
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Citer whismerhill Réponsebullet Envoyé : 30 janvier 2007 à 03:49
L'homme qui entra n'était qu'un simple médecin. Une blouse blanche, un badge avec son nom, un stétoscope autour du coup, aucun doute n'était possible ! Je m'attendais à cette chose, cet homme avec ses yeux jaunes globuleux, ce monstre tout droit sorti de je-ne-sais-où. À la place, le médecin me parlait, sans que je ne le comprenne vraiment. Les son ne parvenaient pas jusqu'à mon cerveau, occupée que j'étais à réfléchir aux implication de ma situation. J'étais dans un hôpital, attachée, prise pour une folle et je commençais à me demander si je ne l'étais pas vraiment. Ces événements étaient tellement étranges et j'étais visiblement la seule à les voir. L'infirmière avait peut-être raison : je perdais sûrement les pédales.
Ecrivaticien dans l'âme.
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Patrick Delay
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Citer Patrick Delay Réponsebullet Envoyé : 01 février 2007 à 00:29
Le docteur prit la seringue que l’infirmière lui tendait. D’une légère pression il fit gicler un peu de liquide puis approchant l’aiguille de mon bras il me dit « Ne craignez rien, cela va juste vous faire dormir un peu ».
Je me sens partir, les voix deviennent confuses, la lumière s’estompe. Plus un bruit. Le silence m’oppresse, je sens une présence maléfique, je voudrais crier mais ne peut sortir un seul son de ma gorge desséchée. Mon cœur se met à battre de plus en plus vite, les veines de mes tempes se gonflent, j’ai mal, je le sais je vais mourir, pourquoi ?
Je me réveille soudain. D’un bond je m’assieds dans mon lit… non ce n’est pas un lit, je ne suis plus à l’hôpital, un courant d’air frais me fait frissonner. Je suis dehors au beau milieu d’une forêt, assise à même le sol et je suis vêtue de la simple chemise de nuit de l’hôpital. Plus d’entrave, je suis libre de mes mouvements, je me lève. Je titube un peu. Le soir tombe et je ne peu rester dans cette forêt. J’avance, doucement puis de plus en plus vite, je cours.
Dans la pénombre grandissante j’aperçois un point lumineux ; je me dirige vers lui. Il grossit, je trébuche, je tombe. Un craquement, le bruissement de feuilles que l’on foule d’un pas pressé. Je ne suis pas seule dans cette forêt. Je me relève et hâte ma course, mes chevilles me font souffrir. Une angoisse me serre la poitrine mais je ne peux m’arrêter. Le point lumineux a grossi. C’est maintenant un grand rectangle blanc. J’entends un bruit ténu, je m’approche. La surface du rectangle n’est pas solide. Elle semble être faite d’un brouillard très dense. Je m’en approche. Devant moi, il ya des gens, des tas de gens assis dans une salle obscure. Ils me regardent tous fixement, ils ont eu un mouvement de recul. Je veux m’avancer vers eux, les rejoindre mais je ne peux pas le brouillard me retient. Ils sont dans une salle de cinéma et moi je suis dans le film. Cela n’est pas possible, je dois encore dormir, il faut que je me réveille.
Un cri dans la salle. Je me retourne. Il est là devant moi. Il s’est approché sans que je l’entende. Je tombe à genoux. Je le supplie de m’épargner. Je me suis recroquevillée la tête dans les mains, face contre terre. Un bruit métallique comme le glissement d’une lame dans son fourreau.



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geffroy
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Citer geffroy Réponsebullet Envoyé : 18 février 2007 à 10:06
- Réveillez-vous ! Madame... Madame, réveillez-vous ! Là voilà calmez-vous, c'est fini, c'est juste un cauchemar.
Qui me parle ? Mais qui est cette femme ?
J'ouvre les yeux. Ça y est, j'y suis, le cinéma est bien loin, me revoilà dans ma chambre d'hôpital. Couchée et attachée.
Mais combien de temps ai-je dormi ? Je n'en peux plus de ces vas et viens entre la réalité et le rêve.
Le docteur m'observe en s'adressant à l'infirmière.
- Faites venir Cané. Notre patiente fait des crises de "paranoïa-hallucinatoire" aiguës. Donnez lui un calmant en attendant.
- Non, s'il vous plaît, pas de piqûres. Je ne veux plus dormir, j'en ai assez.
- Ne vous inquiétez pas, vous ne dormirez pas, c'est juste pour vous décontracter. L'infirmière va vous faire apporter votre plateau repas.
- Plateau repas ? Mais quelle heure est-il ? Il faut que je rentre chez moi. Mon mari m'attend. L'avez-vous prévenu ? Il va s'inqu...
- Calmez-vous, tout va bien. La police a fait son travail. Votre mari est informé de votre accident. Il est allé chez vous prendre des affaires afin que vous puissiez passer la nuit aux urgences.
- Passer la nuit aux urgences ! Il n'en est pas du tout question. Détachez moi ! Dépêchez-vous ! Détachez moi !
- Nous ne pouvons pas vous laisser partir dans votre état. Vous devez passer un scanner et il est impératif que vous consultiez notre neuro-psychiatre le docteur Cané.
Tout ira bien plus vite si vous coopérez dit-il en me tendant un comprimé.
Je me laisse aller, je n'ai plus vraiment la force ni la volonté de combattre. Je ne comprends plus ce qui se passe dans ma vie. C'est un vrai cauchemar.
Je prends le médicament qui ne tarde pas à faire son effet.
Les deux blouses blanches sortent de ma chambre.
Quelques minutes plus tard je suis complètement détendue, je plane un peu. Il me reste suffisamment de lucidité pour réfléchir aux événements de ces dernières vingt-quatre heures.

maryclayr
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feuilllle
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Depuis le: 08 juin 2007 Status actuel: Inactif
Messages: 44
Citer feuilllle Réponsebullet Envoyé : 08 juin 2007 à 14:54
Bizarrement, je reste vigilante au travers de ma somnolence... Ces sauts dans l'espace et le temps devraient s'expliquer d'une manière ou d'une autre !
le t'emps a toujours été mon pire ennemi, entre son élasticité méchante quand elle s'étire interminablement en cas d'ennui et sa fulgurance dans ces bons moments, je ne sais plus trop comment l'apprivoiser!
essayons donc de gagner du temps pour éviter d'en perdre!!!


de plus, je dois trouver impérativement une manière de me sortir de ce pétrin!
Oh! ce n'est pas que je regrette ma petite enfance, mais j'ai toujours eu horreur des asticots!(quoique ! pour la pèche...)et des hopitaux!
Tout ce qui oblige un individu à l'univers carceral me fait blémir, même si c'est pour une bonne raison de santé!

...je me demande quelle autre option pourrais-je bien découvrir derrièrre le prochain épisode!

et si je demandais gentiment à une infirmière de me passer ce foutu film??? ce devrait être possible avec un magnétoscope ; gageons que si je hurle à cette heure de la nuit, pas un médecin ne sera disposé pour une urgence si minime... et augmenter la dose de narcotique serait impensable!
essayons toujours!

... Oui!!!!!! ça a marché! ce que c'est que aimer la tranquillité! adorable "Dragon femelle infirmière!"

je n'ai pas vu le titre mais bon! qu'est-ce que je fais la dedans????? serais-je une star amnésique? ou est-ce encore un détour vers un passage temporel incongru?
une jumelle? la folie?
j'ai du manger trop de chocolat hier soir....





euh... bon courage!
"La blancheur des ébènes ’ au soleil n’est pas sombre
Les ivoires deviennent ’ dans la nuit couleur d’ombre..."
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Patrick Delay
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Citer Patrick Delay Réponsebullet Envoyé : 29 août 2007 à 15:25
Le film n’est pas très bon. C’est une sorte de thriller de série B. Je commence à regretter de l’avoir réclamé. Bon je ferme les yeux mais rien y fait, les lueurs de l’écran traversent mes paupières. Tout à coup un visage attire mon attention. Il est déformé par la peur, sali, partiellement masqué par des cheveux défaits mais le doute n’est pas possible, cette fille qui court dans les bois, la nuit, poursuivie par je ne sais quoi, me ressemble terriblement. Elle trébuche. Une ombre apparaît, une forme menaçante se dessine, un homme cagoulé, il se penche sur la fille, je n’ose dire sur moi, il se penche donc et dégaine un couteau. Il va frapper. La fille dans un sursaut d’esprit de survie lui décroche alors un formidable coup de pied dans le genou. Il hurle de douleur et lâche son couteau alors qu’il s’affaisse lourdement sur le sol. La fille se relève et fuit en courant. Pourquoi ne l’a-t-elle pas achevé, ne puis-je m’empêcher de dire à haute voix. J’entends du bruit, je ferme les yeux, l’infirmière me croyant endormie va arrêter cette foutue cassette, c’est sûr. Je sens un souffle d’air frais, elle a dû ouvrir une fenêtre, ma respiration se fait soudain très rapide, mon corps est pris de soubresauts, je le sens en mouvement, j’ai mal partout, j’ouvre les yeux, je cours dans la forêt et j’entends au loin l’espèce de monstre qui a essayé de me tuer, il hurle, il hurle après moi « Salope j’aurai ta peau ! » Je frémis, je pleure, j’ai peur et je cours. Un point de côté mais je ne peux m’arrêter. Où sont les caméras, qu’attend le metteur en scène pour crier : « Coupez, elle est bonne on la garde ! ». Non, je suis seule, pas de caméras, pas de metteur en scène, pas d’accessoiristes pour me remaquiller. Tout à coup une déclivité, je trébuche à nouveau, je tombe, je roule, la pente est trop forte et moi trop fatiguée pour pouvoir m’arrêter. J’entends le bruit d’un torrent ou d’une chute d’eau, je ne sais pas, tout va trop vite, je tombe, la chute dure une fraction de seconde, une éternité, mon corps plonge dans une eau froide, je panique, je ne sais pas nager, je vais me noyer, je veux crier, je vais crier, j’ai pied. Je me redresse, je me lève, je suis debout avec de l’eau jusqu’à mi-cuisse, je respire d’une façon saccadée puis j’arrive à me calmer petit à petit et à retrouver une respiration normale. Je respire maintenant profondément, je regarde autour de moi, la lune éclaire faiblement le paysage, je suis dans un petit cours d’eau, assez calme. Je suis tombé dans un petit trou d’eau. Un mètre plus loin, et c’était le rocher, j’aurais pu me faire très mal ; finalement j’ai eu de la chance. A proximité, il ya un gros buisson, je m’y réfugie. Il ne faut pas que l’autre cinglé me trouve. Je choisis de rester immobile, allongée dans ce bosquet, tous les sens en éveil. Je sursaute, je me suis endormie et le soleil frappe mes paupières, j’ouvre les yeux. Je suis revenue dans une chambre d’hôpital éclairée violemment par deux gros plafonniers. J’ai donc rêvé ! Pourtant, tout semblait si réel. Je tiens quelque chose dans ma main gauche ; Je l’ouvre, une feuille. Ce n’est pas une feuille de papier, c’est une feuille d’arbre, sans doute arrachée dans le buisson où je me suis endormie. J’ai une douleur à la jambe gauche, un reliquat de ma chute. L’infirmière entre dans la chambre. « Alors, bien dormi ? » Me demandes-t-elle. Je ne sais trop quoi répondre. Je lui demande si je ne suis pas tombé du lit pendant mon sommeil. « Tombée du lit ? Vous voulez rire, vous avez dormi parfaitement immobile, je suis passée vous voir régulièrement, vous n’avez absolument pas bougé. J’ai même eu peur, j’ai pris vos pulsations et j’ai branché le monitoring pour m’assurer que tout allait bien.
Pourquoi cette question ?
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