Je l'ai lu relu et le relis à chacun de mes retours de Terre Sainte.
J'y retrouve l'atmosphère qui se dégage des lieux. Michener aurait pu mieux écrire que cela ne changerait en rien ce que l'on ressent sur ces lieux de pèlerinage.
Je suis chrétien, mais là-bas, je suis dans un autre monde : celui de « la Source ».